Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Chroniques désabusées

22 mars 2008

ik les comic

... dans le fond, c'est déstabilisant comme question : quels sont tes hobbies, quand on n'en a pas. J'aime faire pleins de choses, mais pas une en particulier. Difficil à comprendre ? je ne sais pas... il pleut, je ne peux pas aller à la piscine, dommage.. je vais alors rester ici  rien faire. Pour changer.
j'ai peur de ma chambre d'étudiant, tout seul, qu'est-ce que je vais faire.
Il faut que j'en parle à JeanPhilippe, ça ne peut pas durer, je ne v/peux pas...
inscrit en pcem1. en ayant fait littéraire. J'ai moins de chance ? non les stat sont débile, certes, en p2, c'est 99% de S, en P1 92, mais en P1, il y aussi plein de perso qui veulent faire kinés... j'ai autant de chance de réussir. Je réussirai, il faut bien que je réussisse quelque chose. Puis au fond, ça me convient, au fond, j'aime vraiment aider les gens, leur être utile, jusqu'à me "donner".

Publicité
Publicité
8 mars 2008

Accross United States ?

Deux mois de vacances.. un mois avec mon chéri. Que pourrions nous bien faire... Qui m'a mis cette idée dans la tête.. est-ce lui ? traverser les Etats Unis.. en voiture... United States... Mais c'est cher... L'avion, presque 1000 euros par personne, la location de la voiture, l'essence, la nourriture, le train.... il faut que je travaille en juillet. Cela ne suffira pas. Voyons voir.. j'ai 269 euros sur mon compte épargne, avec 80 euro d'argent de poche..., je devrais avoir 320 euros de plus soit 589 euros. Cela paiera le train. Mon job d'été l'avion. Le bémol : vais-je avoir un job d'été ? ....
2 mars 2008

Doux rêves

C'était doux... certainement plein de symboles.
Tout se passait dans ma chambre, mais rien n'y été comme aujourd'hui, et ce n'est qu'aux couleurs que je peux être sûr qu'il s'agissait de cette pièce. Je tétais un homme, allongés entre des couvertures. Bien sûr, pas de lait, quand je retirais mes lèvres, une chainette sortait de ma bouche,était accrochée aux téton, la peau autour était blanche laiteuse, douce,  quelques poils roux. Un visage comme celui d'une pub pour le parfum de Gaultier (le mâle), roux, un roux pâle... De cette chaînette, un crayon, de papier, avec lequel j'écrivais, en posant ma feuille sur le torse de cet homme, sans un regard pour lui, faisant attention à ne pas le blesser. Je l'embrasse, je me réveille.

2 mars 2008

Voyage au carnaval

CARN05238
Je me rappelle avoir écrit, sur l'espèce de frontipice de surlerivage, que je palerai de choses culturelles.
D'habitude, je ne le fais pas ici.. c'est plus mon petit.. défouloir ce petit... blog...
Mais aujorud'hui, j'ai vu quelque chose de simplement ... coloré. Cela avait la saveur de la fête, la saveur des gens lorsqu'ils sont heureux. C'était communicatif, alors pendant ce petit trajet j'ai été simplement heureux. Si c'est ça le bonheur... c'est si simple...
C'est le carnaval de Bergues, cette ville où l'on a tourné Bienvenue chez les Ch'tis. ( je n'ai pas encore été le voir.. je suis sceptique, et j'ai peur d'une vitrine pour le moins.. négative... qu'on trouve le ch'ti " gentil" ). Pour aller à Bergues, de Lille, les carnavaleux prennent le train. Je quittais un week end savoureux pour entrevoir ces vieilles filles.
J'étais en avance, quitté par mon accompagnateur, et je choississais ma place. Le plus loin possible de la queue du train, j'aurais moins à marcher à la gare d'hazebrouck, le plus loin possible de ce petit groupe de carnavaleux que je décrète déjà comme vulgaires... La voiture idéale s'offre à moi après quelques metres, elle est vide de carnavaleux. Une demoiselle s'est installé silencieusement, et devant moi s'intalle un monsieur, plus si frais déjà,  il faut dire que l'odeur de transpiration n'aide pas. Dans la gare, ça chante de plus en plus fort, je commence à trouver ça amusant.. je n'ai jamais pris le temps, n'ai jamais eu l'envie, d'écouter une de ces chanson. Lubrique ?.. non obcsene.. et alors .. ? " ma tante charlotte " j'étais sûr de la garder en tête jusque chez moi.
Le train se renpli des carnavaleux... si j'avais eu un peu de présence d'esprit, je n'aurais pas composté mon billet, les controlleur ne se risque jamais à controller autant de monde, même courageux.... Une troupe, peut-être un troupeau s'intalle dans "ma voiture". Rapidement, les deux autres déguerpissent. Moi, je suis content, liberé du putois... Bon... eh bien, je vais prendre mon mal en patience.
Jes les ai vus s'habiller mon certains, ne maquiller pour d'autre, boire pour tous. Et alors, la bière, c'est un produit régional, pas question de perdre notre identité... D'autrte voyageur, sur lesquels, en lettre réfléchissante on pouvait lire POLICE passe, ne s'arrête pas, sourient aux carnavaleux, dont il retrouveront quelque que une en cellule de dégrissage, quelques heures plus tard.
" ah la matraque ! je peux essayer ?"
C'est simple, une petit réflexion, ça m'a beaucoups fait rire, pendant que je dessinais quelques costume,  les griffonais sur mon calepin.
La bière tourne, le train s'arrete, et avec moi descendent les carnavaleux, eux se dirigent vers Bergue, leur villégiature pour la journée. Moi je m'attriste, des joyeux comme ceux là, j'en vois pas souvent...

C'est drôle, come une fête, paienne, puis religieuse, peu devenir tout, absolument tout sauf religieuse... Ces hommes qui s'appellent "chérie", ces plumes et parapluies... aussi colorés que les visages de ceux qui les portent !

11 février 2008

escort

je n'ai qu'à me faire escort. J'aurais du fric. Je me rierais des autres.
Mais personne ne voudrait de moi... peut-être

ou alors pas ceux dont moi j'ai envie.

Bref, seul, pour changer...

Publicité
Publicité
11 février 2008

automatique

que suis-je ?
un ados perdu ? et laid.
je n'ai que sur moi même sur qui m'appuyer. Je dois le savoir.
Le monde est pourri, je ne le remplacerai pas, je n'en ai pas le pouvoir.
L'envie ? Peut-être.
Je suis triste de ne savoir moi-même ce qu'il se passe.
je ne peux probablement rien faire.
Sciences Po, une lueur d'espoir ?
Non de désespoir, ce sera la preuve de ma banalité intellectuelle. Je suis peut-être "au dessus de la moyenne ".. mais pas de très loin.
Je suis comme tous les autres, comme tous les autres j'aime les même choses, je ne suis qu'un de ces petits moutons, un de ces petits consommateurs de merde "consommer pour exister"  - va chier.

Réussir "dans la vie" m'intéressait. Mais maintenant, réussir "dans la vie", ce n'est qu'une entreprise matérielle... et alors, ne pourrais-je pas m'y abandonner ? Bien des personnes s'en contentent, à la différence de moi, mais pourquoi ? Parce que je suis un insatisfait, je n'en ai jamais assez. Je devrais être riche pour être heureux ? Cette phrase est à vomir, le confort matériel, c'est pour les porcs. Comprendre le monde, voyager, mourir, tout cela coûte de l'argent.

Que l'on me laisse mourir.
Non, que je meurre, je ne veux pas faire partie de ça. Je ne veux pas faire partie de ce monde ou sous couvertures de billet, d'élytisme, on vend tout.
J'ai froid, je suis gêlé, mais je ne pleure plus. J'ai mal au ventre, j'ai faim. Je hais la nature d'être humain.
Si quelque chose m'attendait après ? Si quelque chose m'attendait ? pour moi, moi seul...
Je ne peux pas, je devrais avouer bien des choses aux parents.  Le ferrai-je ? pourquoi le faire ? pour protéger Jean Philippe. 

11 février 2008

doutes

Dois-je l'écrire ? N'est-ce pas, d'une quelconque manière dangeureux ?

La pente est descendante... Pourquoi lui dis-je encore "je taime" ? ... je me sens faux, j'ai peur de ne pas savoir moi même où j'en suis. Alors que tout est maintenant sérieux, moi, je ne le suis plus. J'étais sincère, je crois que je ne le suis plus. Je l'aimais vraiment, maintenant, qu'en est-il ? Dois-je lui en parler ? Je crois que celui ne pourrait que lui faire du mal. Je ferrais bien mieux, d'attendre, gentilment, et de vivre comme j'ai commencé, simplement en attendant, sans fermer de porte. Peut-être trouverais-je un objectif, une femme, un homme.

Je ne sais même pas.

Je ne pleure même pas.

Je voudrais que des larmes coulents sur mon visage de temps en temps, pour me prouver que je puisse le faire... cela fait si longtemps que je n'ai pas pleurer. Il faut que j'en parle à quelqu'un. Il faut que j'en aprle à quelqu'un ... non j'ai honte, je ne pourrais pas en parler, tout le monde me dirait la même chose : "quitte le"
Pourquoi ne le ferrai-je pas ? Il a une trop grande place en moi, il fait partie intégrante de moi, et cela ne fait que croître, jours après jours... A la question "qui suis-je?", maintenant, je dois y ajouter Jean-Philippe.

C'est dur de se dire que quelque chose se termine.
Je pleure d'écrire ces lignes, mon histoire après Jean Philippe se termine. Doit-elle se terminer maintenant, alors qu'entre nous, du moins, dans ses yeux, les choses semblent être au point ? ou doit-elle se terminer quand plus rien n'ira. Je suis libre. J'ai peur. Il faut que j'en parle à Olivier.

11 février 2008

C'était écrit la-haut

Que penser aujourd'hui ?
Que penser d'hier ?
Tout se paie. Le bonheur à un prix, je devrais contracter un prêt. Comme ça je serais en plus dépendant d'une banque. Saleté de capitalistes...

Une journée superble, avec des gens superbles. Un diner génial, avec une conversation géniale. Il a fallu que je fasse pleuvoir mon café sur mon pull blanc, il a fallu, qu'il n'y aurait pas de vélib, et que quand on en trouverait un, je n'arrive pas à le décrocher et le bloque. De telle manière qu'il est encore supposé être en location... Cette merde va me coûter une fortune...

Et en plus, il fallait que je ne sois pas excitant. Non "c'était tout mou" j'ai donc été égoïste. J'ai honte d'avoir agi ainsi...
Tout ça n'a qu'un facteur commun : moi !!

4 février 2008

J'ai peur de tomber dans un lieu commun. Comment

J'ai peur de tomber dans un lieu commun. Comment exprimer mon amour, cette amour si personnel par des mots que chacun utilise... ces sentiments sont-ils universels pour que l'on ait tous les mêmes mots ? Non, mes sentiments sont les miens, aussi bien, je n'ai aucun moyen de comparer avec ceux des autres. Jean-Philippe, je t'aime...

4 février 2008

Philadelphia

Nous étions chez toi, à Philadelphie, ta nouvelle ville, dans ton nouveau pays. Tu venais juste de rendre ton passeport Français, c'était fait, tu étais devenu un vrai américain. Plus question de parler un seul mot de français, seul cette langue prémachée, comme un vieu chewing gum coulait de tes lèvres. Il fallait que je rentre, tu décidais de me raccompagner.
Pourquoi es-tu parti avant moi ? Et pourquoi ne t'ai-je pas vu partir ?
Incroyable que je trouve tes papiers chez toi après ton départ. Et mon avion qui décolle bientôt... toi où es-tu ? déjà à l'aéroport ? Je décide de les prendre et me fais conduire jusqu'à l'aéroport.
A Paris, c'est la princesse qui m'attend. Nous te cherchons, sans te trouver. Tu ne peux qu'être en France, mais tu es y coincé...

drôle de rêve !

Publicité
Publicité
1 2 > >>
Chroniques désabusées
Publicité
Publicité