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Chroniques désabusées
2 mars 2008

Voyage au carnaval

CARN05238
Je me rappelle avoir écrit, sur l'espèce de frontipice de surlerivage, que je palerai de choses culturelles.
D'habitude, je ne le fais pas ici.. c'est plus mon petit.. défouloir ce petit... blog...
Mais aujorud'hui, j'ai vu quelque chose de simplement ... coloré. Cela avait la saveur de la fête, la saveur des gens lorsqu'ils sont heureux. C'était communicatif, alors pendant ce petit trajet j'ai été simplement heureux. Si c'est ça le bonheur... c'est si simple...
C'est le carnaval de Bergues, cette ville où l'on a tourné Bienvenue chez les Ch'tis. ( je n'ai pas encore été le voir.. je suis sceptique, et j'ai peur d'une vitrine pour le moins.. négative... qu'on trouve le ch'ti " gentil" ). Pour aller à Bergues, de Lille, les carnavaleux prennent le train. Je quittais un week end savoureux pour entrevoir ces vieilles filles.
J'étais en avance, quitté par mon accompagnateur, et je choississais ma place. Le plus loin possible de la queue du train, j'aurais moins à marcher à la gare d'hazebrouck, le plus loin possible de ce petit groupe de carnavaleux que je décrète déjà comme vulgaires... La voiture idéale s'offre à moi après quelques metres, elle est vide de carnavaleux. Une demoiselle s'est installé silencieusement, et devant moi s'intalle un monsieur, plus si frais déjà,  il faut dire que l'odeur de transpiration n'aide pas. Dans la gare, ça chante de plus en plus fort, je commence à trouver ça amusant.. je n'ai jamais pris le temps, n'ai jamais eu l'envie, d'écouter une de ces chanson. Lubrique ?.. non obcsene.. et alors .. ? " ma tante charlotte " j'étais sûr de la garder en tête jusque chez moi.
Le train se renpli des carnavaleux... si j'avais eu un peu de présence d'esprit, je n'aurais pas composté mon billet, les controlleur ne se risque jamais à controller autant de monde, même courageux.... Une troupe, peut-être un troupeau s'intalle dans "ma voiture". Rapidement, les deux autres déguerpissent. Moi, je suis content, liberé du putois... Bon... eh bien, je vais prendre mon mal en patience.
Jes les ai vus s'habiller mon certains, ne maquiller pour d'autre, boire pour tous. Et alors, la bière, c'est un produit régional, pas question de perdre notre identité... D'autrte voyageur, sur lesquels, en lettre réfléchissante on pouvait lire POLICE passe, ne s'arrête pas, sourient aux carnavaleux, dont il retrouveront quelque que une en cellule de dégrissage, quelques heures plus tard.
" ah la matraque ! je peux essayer ?"
C'est simple, une petit réflexion, ça m'a beaucoups fait rire, pendant que je dessinais quelques costume,  les griffonais sur mon calepin.
La bière tourne, le train s'arrete, et avec moi descendent les carnavaleux, eux se dirigent vers Bergue, leur villégiature pour la journée. Moi je m'attriste, des joyeux comme ceux là, j'en vois pas souvent...

C'est drôle, come une fête, paienne, puis religieuse, peu devenir tout, absolument tout sauf religieuse... Ces hommes qui s'appellent "chérie", ces plumes et parapluies... aussi colorés que les visages de ceux qui les portent !

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